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QCM cancer colique

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Message par Admin Mar 1 Avr - 17:44

QCM 1. Le cancer colique : a b d
A. Est plus fréquent que le cancer rectal.
B. A une épidémiologie un peu différente de celle du cancer rectal.
C. Est essentiellement lié à des facteurs d'environnement.
D. Est rare dans les quatre premières décennies.
E. Comporte un facteur héréditaire uniquement dans le cadre de la polypose colique.
QCM 2. Les sujets à risque élevé de CCR sont : abc
A. Les patients ayant un parent du premier degré atteint d'un cancer colo-rectal.
B. Les sujets traités antérieurement d'un polyadénome colique.
C. Les sujets atteints d'une rectite distale durant les cinq premières années d'évolution.
D. Tous les sujets de plus de 45 ans.
E. Les sujets atteints d'un Sd de Peutz-Jeghers
QCM 3. Les signes cliniques du cancer colique : bcde
A. Permettent de faire le diagnostic au stade utile.
B. Peuvent être des symptômes extra-digestifs.
C. Peuvent faire évoquer des troubles fonctionnels intestinaux.
D. Sont parfois à différencier d'une amibiase.
E. Peuvent ressembler à une sigmoïdite
QCM 4. Le cancer du côlon peut être à l'origine d'une ou de plusieurs des complications suivantes : abe
A. Péritonite.
B. Fistule colo-vésicale.
C. Méléna.
D. Hypertension portale.
E. Occlusion de type mécanique.
QCM 5. Le dépistage de CCR : ace
A. Est amplement justifié en Europe.
B. Est toujours basé sur la recherche de sang dans les selles.
C. Doit être réalisé 5 ans avant l'âge du plus jeune cas familial dans le Sd de Lynch.
D. Est basé sur le dosage de l'ACE.
E. Permet de découvrir des lésions à un stade moins avancé comparativement aux sujets symptomatiques.

QCM 6. Parmi les moyens adaptés au dépistage et au diagnostic de CCR : ab
A. Le toucher rectal est le premier examen à toujours effectuer.
B. Le lavement baryté en double contraste est supérieur au simple contraste mais uniquement indiqué en cas de contre-indication ou d'insuffisance de la coloscopie.
C. La coloscopie a uniquement l'avantage sur l'examen radiologique de détecter des lésions de plus petites tailles.
D. La coloscopie est un examen qui manque beaucoup de sensibilité.
E. La coloscopie est contre-indiquée en cas de rectorragie
QCM 7. Le test Hémocult(R) : acde
A. Peut dans certaines conditions servir au dépistage du CCR.
B. Est le meilleur moyen du diagnostic du CCR.
C. Est positif chez environ 2% des adultes de plus de 40 à 45 ans soumis à un dépistage.
D. Est faussement négatif dans 20 à 40% des lésions bénignes ou malignes d'assez grande taille.
E. N'a pas démontré formellement sa capacité de diminuer la mortalité par CCR.
QCM 8. Le syndrome de Lynch : abce
A. Comporte au moins 2 expressions différentes.
B. Est principalement caractérisé par le jeune âge et la prédominance droite du CCR.
C. Peut être à l'origine de localisations coliques synchrones ou successives.
D. Peut être facilement identifié par des études génotypiques.
E. Oblige à une surveillance beaucoup plus attentive qu'un CCR sporadique.
QCM 9. Avant de décider d'une intervention chirurgicale pour un cancer du côlon : ab
A. L'échographie abdominale est l'examen principal.
B. Le dosage d'ACE est utile pour surveiller l'évolution après traitement.
C. L'échoendoscopie est indispensable pour juger de l'extension ganglionnaire.
D. Le bilan d'extension métastatique se limite à l'examen du foie et des poumons.
E. Il est toujours de règle de réaliser une endoscopie digestive haute.
QCM 10. Le traitement curatif du cancer du côlon :b
A. Se limite toujours à une résection chirurgicale.
B. Peut comporter en fonction de l'extension ganglionnaire une chimiothérapie adjuvante.
C. Peut dans certains cas se limiter à un geste endoscopique.
D. Peut faire appel à la photocoagulation.
E. Peut faire appel à l'endocuriethérapie.
QCM 11. Le pronostic du CCR : abe
A. Est globalement de 35 à 40% de survie à 5 ans.
B. Est fonction du stade de Dukes et notamment de l'envahissement ganglionnaire.
C. Est grevé par une lourde mortalité chirurgicale.
D. Est plus grave dans les formes rectales.
E. Est meilleur que celui du cancer de l'oesophage.

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